La première dame du Cameroun, Chantal Biya, est actuellement au centre des discussions politiques dans le pays. Avec le départ de son mari Paul Biya, qui dirige le pays depuis 1982, beaucoup se demandent ce qu’il adviendra d’elle.
Selon l’activiste Jacques j’auraizan, Chantal Biya ne pourra pas vivre au Cameroun après la mort de son mari, du moins pour une bonne et longue période. Il estime que même dans le village natal de Paul Biya, les autochtones ne la voudront plus.
Cette situation peut sembler choquante pour certains, mais il est important de rappeler que le changement de président dans un pays n’est jamais facile et peut engendrer des soubresauts. Les Camerounais souhaitent que la transition se fasse dans le calme et sans heurts.
Cependant, l’avenir du Cameroun dans 5 ou 10 ans reste incertain, avec des problèmes récurrents tels que la corruption, la criminalité, les détournements de fonds publics, l’insécurité avec la guerre dans les régions du nord-ouest et du Sud-Ouest, le tribalisme et le manque de justice équitable et impartial.
Il est donc difficile de prédire comment le Cameroun sera géré après le départ de Paul Biya. Cependant, il est important que le pays fasse des efforts pour renforcer l’État de droit et améliorer la situation socio-économique pour le bien-être de tous les Camerounais.
Dans cette période de transition politique, il est crucial que les dirigeants du pays travaillent ensemble pour assurer une transition pacifique et mettre en place des politiques et des pratiques qui profiteront à tous les Camerounais.