Les protestants peuvent citer au moins quatre des dix commandements par rapport à leurs homologues catholiques, selon un sondage réalisé par le magazine Newsweek.
Dans l’Exode 20:2, Dieu a dit : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage ».
Depuis le jardin d’Eden, l’homme s’est rebellé contre Dieu. Pour aider à libérer l’humanité de cette propension au péché et aider chacun d’entre nous à mener sa meilleure vie, Dieu a transmis les dix commandements comme un code de lois morales à respecter.
Les commandements séparent le peuple de Dieu, identifient le bien du mal et soutiennent l’importance ultime de l’amour pour Dieu et le prochain pour promouvoir la paix dans cette vie et le salut par la suite.
Le premier commandement
Dans l’Antiquité, cette loi éloignait les gens des nombreux faux dieux vénérés par les différentes cultures.
Le deuxième commandement
Le troisième commandement
Le quatrième commandement
Ce commandement n’est pas explicitement réitéré dans le Nouveau Testament, mais il est fait référence à l’existence du sabbat au temps de Jésus (Luc 4:16 ; 23:55-56).
Le cinquième commandement « Honore ton père et ta mère » (Exode 20:12 ; Ephésiens 6:2-3 ; Luc 18:20).
Le sixième commandement « Tu ne tueras point » (Exode 20:13 ; 1 Jean 3:15 ; Romains 13:9). Le mot « meurtre » est utilisé ici, car le commandement interdit d’ôter la vie à autrui de façon illégale. L’Écriture fait une distinction entre le meurtre et la mise à mort, comme le montre la discussion de Paul sur le droit du gouvernement de tuer les malfaiteurs (Romains 13:1-4).
Le septième commandement « Tu ne commettras pas d’adultère » (Exode 20:14 ; 1 Corinthiens 6:9-10 ; Romains 13:9).
Le huitième commandement
« Tu ne voleras pas » (Exode 20:15 ; Ephésiens 4:28 ; Romains 13:9). Il s’agit d’une interdiction de prendre quelque chose qui ne vous revient pas de droit.
Le neuvième commandement « Tu ne donneras pas de faux témoignage contre ton prochain » (Exode 20:16 ; Colossiens 3:9-10 ; Apocalypse 21:8). Donner un faux témoignage contre un voisin, c’est mentir sciemment sur cette personne d’une manière qui lui causera du tort, comme dans une procédure judiciaire. L’importance d’un témoignage véridique est perçue dans notre système judiciaire moderne, qui punit comme un parjure le faux témoignage dans une affaire juridique.
En d’autres termes, nous ne devons pas désirer ou viser ce qui appartient légitimement à quelqu’un d’autre.
Comme Jésus l’a sagement souligné, le péché trouve souvent son origine dans un sentiment de convoitise qui peut amener une personne à enfreindre l’un des autres Commandements, comme celui contre le meurtre, l’adultère ou le vol (Matthieu 5:28 ; Luc 6:45).
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