L’Assemblée législative d’Afrique de l’Est souhaite que les États membres du bloc et ceux du bassin du lac Victoria établissent conjointement une surveillance pour les questions de sûreté, de sécurité et de sauvetage dans l’ensemble du lac.
Ce rapport charge également la région de tout mettre en œuvre pour sauvegarder le mandat de la LVBC, en renforçant ses capacités, notamment par un financement accru et la mise à disposition des ressources humaines nécessaires.
Le plan d’urgence vise à orienter les mesures nécessaires à prendre, en cas d’incident ou d’accident, qui entraînerait un déversement de produits chimiques toxiques dans le lac Victoria.
Dans le cadre du programme de gestion intégrée des ressources en eau du bassin du lac Victoria, le gouvernement fédéral allemand et l’Union européenne ont débloqué plus de 30 millions d’euros pour soutenir des projets d’investissement hautement prioritaires au Rwanda, en Ouganda, en Tanzanie et au Kenya.
L’honorable Adam Kimbisa a appelé les États partenaires de la CAE à investir sérieusement dans le bassin des lacs pour que la région puisse se développer économiquement, tandis que l’honorable Fatuma Ndangiza a dénoncé la forte dépendance des donateurs à l’égard de l’institution.
Oburu Oginga a réaffirmé que la dotation en personnel était essentielle à la prestation efficace des services de l’institution. Pour leur part, l’honorable Pierre Celestin Rwigema et l’honorable Françoise Umuwukiza ont exhorté le Conseil des ministres de la CAE à rechercher des mécanismes alternatifs pour financer la LVBC et les autres institutions de la CAE.
En vertu de cet accord, la LVBC devrait être responsable, entre autres, de la coordination de la participation des parties prenantes au développement durable des ressources naturelles du bassin du lac Victoria et de l’harmonisation des politiques, des lois, des règlements et des normes.
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