« Nous le devons à Babita » : la famille réclame justice alors que la SIU découvre au moins quatre syndicats

Actualité Africaine

JOHANNESBURG – Cela fait quatre ans que la lanceuse d’alerte Babita Deokaran a été assassinée.

Elle avait dénoncé une corruption de plusieurs millions de rands dans le cadre d’un appel d’offres à l’hôpital Tembisa et au sein du département de la santé de Gauteng.

Six personnes purgent actuellement des peines de prison pour son meurtre, après avoir été condamnées en 2023. Elles purgent des peines allant de 6 à 22 ans.

Mais sa famille et les organisations de la société civile veulent que le commanditaire soit retrouvé et traduit en justice.

L’unité d’enquête spéciale affirme avoir réalisé des progrès significatifs dans son enquête sur l’hôpital de Tembisa, où Deokaran avait mis au jour une corruption massive dans le cadre d’appels d’offres.

Elle suit également des pistes pour découvrir qui pourrait être le commanditaire de cet assassinat effronté.

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